Rp histoire d'Aathahorus

[Belladone]

Bon Aathahorus et mon perso sur le S2, comme je me suis fait chier à écrire sont histoire je vous la retranscris ici en espérant que vous en apprécierez la lecture :


Il était une fois dans la profondeur de la plus profonde des forets profondes, vivaient dans la quiétude une petite communauté d’elfe. Ces elfes avaient depuis longtemps quitté leurs frères suite à la guerre fratricide que mené, hauts elfes et elfes sombres. Voulant à tout prit fuir la violence et la déchéance, ils s’enfoncèrent toujours plus dans la profondeur de cette profonde foret.
Ils firent de la foret leurs patries, et s’appelèrent les Sylvaniens…

C’est dans ce décor que naquît notre héros… Aathahorus.

Plus belle que les naïades, plus fraiche que la rosé, sa mère était la plus délicate beauté de toute la profonde sylve.
L’esprit vif, l’œil d’émeraude, le visage angélique et un corps sculptés pour l’amour, son père faisait la fierté des Sylvaniens.
De leurs unions mirifique, l’idéal de la beauté ne pouvait qu’en découlé, un enfant portant les traits les plus gracieux, d’une légèreté et d’une idéal frimousse… mais voila… l’attendu ne vint pas… et à sa place une créature presque abjecte, d’une pâleur presque mortuaire, aux yeux globuleux et à la grimasse repoussante… le pire était venus à la place du meilleur.
Hélas pour nos deux amoureux, leurs peines ne s'arrêtées pas là….

Ne pouvant reculer devant ce revers du destin, ils l’élevèrent avec tout l’amour qu’il fut possible, lui offrant la meilleur des éducations, l’initiant aux tirs et aux arcanes, il eut tout ce qu’il y avait de mieux, et n’en tira que le pire, comme si toute son âme n’était que laideur, maladresse et nullité…

Imaginez alors, ses pauvres parent… sa mère emprise à la plus amère des mélancolies, son père rongé par le remord et désabusé de voir son propre sang souillé par tant de tares.
Leurs humiliation fut à son comble quand vint la puberté de ce misérable…
Car non content d’être hideux et idiot, Aathahorus sombra dans la déchéance de la fée verte… la liqueur de tout les diables, l’Absinthe.
Il en buvait tant que peu à peu sa pilosité devint verdâtre, son teint blafard empira, et la folie s’empara de son esprit déjà malingre.

Mais l’ultime parjure vint une nuit, ou complètement ivre il déchainât sans le vouloir des pouvoirs maléfiques, Aathahorus caché en lui une bien terrible vérité… la magie noire nécrotique et la démonologie souillé ses entrailles.

Il fut alors déni de ses parents, de son peuple et contraint à l’exile…

Voici comment Aathahorus fut chassé et contraint à l’aventure…

[Belladone]

Sous l’acide pression de son cœur maudit, Aathahorus fulminait de rage et de désespoir. Qu’adviendrait t’il de lui, seul dans cette profonde foret profonde ? Pourquoi diable, était-il si différent, pourquoi ne l’avait-on jamais aimé pour ce qu’il était, ou ce qu’il n’était pas ? Tant de questions, tant d’amertume pour une âme si délicatement nauséeuse. Dans son esprit il eu bien des scènes de massacres et de vengeance, envers ces frères, mais la haine qu’il éprouvait était surtout dirigé sur lui-même, lui ce nigaud tout moche, maladroit et grotesque, et une folle envie d’en finir immergea de ses pensées. Fiévreusement il continué sa marche hagarde sur les sentiers sinueux qu’il connaissait si bien, trébuchant parfois, marchant dans quelques déjections animales par inadvertance, mais il n’en avait plus rien à cuir, sa courte vie allée s’en finir…
Chute mortelle, noyade, pendaison par des lianes, coups de couteau… il énumérait ainsi toutes les morts possibles afin d’en terminer vite et bien. Ne sachant pas faire les nœuds, n’ayant point de couteau et ne sachant pas nager il élimina ces possibilités, ne lui restant que la chute, il se mit à la recherche d’un arbre assez grand pour le réduire en miette.
Après quelques minutes la tête en l’air, à s’en faire un torticolis, il trouva un arbre bien moche et bien grand pour faire son office. Alors qui s’apprêtait à attraper une branche, une peur froide le saisi… il avait le vertige, comment avait-il put l’oublier? Peut être par ce qu’il n’avait pas retenté de grimper depuis la fois ou… mais il chassa ce souvenir désagréable de sa mémoire. Nonchalamment il s’assit par terre, et il eu comme une envie de pleurer, mais ses larmes comme d’habitude ne vinrent pas, laissant place à cet douleur insoutenable et brulante.
Ce maudissant une fois de plus de ne pouvoir pas même s’ôter la vie, il resta là avachit comme un mal propre. Après avoir hurlait à la mort, s’être griffé le corps et le visage, il prit son baluchon et en retira un flacon d’absinthe pour se la mettre…
Quand il ouvrit les yeux au petit matin, sa tête douloureuse lui fit échapper un râlement, de la bave avait coulée de sa bouche et il baignait dans une marre de… enfin comme d’habitude il c’était pas loupé, à croire qu’il était doué pour sa.
Il se leva ankylosé, la tête flageolante, puis se dressa avec difficulté bien décidé à en finir une fois pour toute. Il reprit sa marche au hasard des sentiers cet fois si, laissant le soin à ses jambes de le guider, car dans son encéphale bouillé cette unique volonté… gouter à la mort.

[Belladone]

Gouter à la mort… voilà la réponse à ses maux ! Il avait enfin trouvé le moyen de se tuer. Excité par la révélation il commença sa frénétique recherche… trouver plantes et autres champignons, afin de se concocter une décoction mortellement mortelle ! Et à ce jeu Aathahorus était très bon, il ne savait lui-même d’où venet cet instinct, mais il avait le don de connaître tous les végétaux les plus horribles, ceux qui avaient les goûts les plus ignobles, ceux qui donnés la fièvres ou autres hallucinations, et ceux pouvant donner le trépas.
Après quelques heures il avait amassé de quoi terrasser un troll des cavernes et bien plus, sèves, suc, feuilles, racines, champignons, lichens…
Il mélangea le tout dans une pierre creuse, après avoir pilonné le tout. Il sortit de son sac sa bouteille d’absinthe, en but la totalité, non sans un haut de cœur et puisa de sa main la mixture assassine. Il absorba tout d’abord le mélange, et du reste, se l’étala sur le visage pour la faire pénétré dans les pores.
La mixtion était infâme, brulant toute sa bouche, perçant sa langue de mille aiguilles, comme un acide coulant avec vice et plaisir sadien. Sa gorge était en feu, et c’était toute sa trachée qui peu à peu sombré dans un mal défiant toutes tortures. Et que dire de son visage, croyant même que sa peau dégouliné sous le feu impitoyable, s’incrustant avec violence sous son épiderme, carbonisant chacune de ses cellules, la douleur était intensément insupportable… encore une fois il ne c’était pas loupé… puis après ces quelques secondes inouïs de souffrance, s’écoulant pour lui comme une éternité, il sombra vers la mort…avec pour dernière visions le visage de sa mère…angélique…belle comme la mort…

[Belladone]

… Le vide…une sensation de froid…une fraicheur vampirique… une eau dévorante…un malaise cosmique…un état de légèreté emplit d’une lourdeur moite et intense…puis aucune sensation, doublé de secousse sensitive furtive et indélicate… un miasme putride comme la chair faisandé, confite dans un jus odieux d’eaux de cadavres… Une lumière lointaine impersonnel, dérangeante mais presque familière. Elle grossit passant de point à astre mordoré dans un ciel d’encre immaculé. Sous ses rayons toujours plus agressif, la chaleur...et une sensation physique, comme le touché d’un corps reposant contre une surface dure. La chaleur retombe quand l’astre déborde et envahie tout, inondant la vision d’une lumière impérieuse.
Puis lentement très lentement un souffle, un bruissement, un murmure, une voie, un crie, un déchirement…

« MAUDIT…DAMNED…TU PORTE LE SANG DE MA MARQUE… PORTE L’ECUSSON DU CHAOS ET SEME LA MORT ET TUE LA VIE…TU EST L’ESSENCE ET LA FLEURE D’UN MONDE NOUVEAU PORTE L’ECUSSON DU CHAOS AUDESSUS DE TOUT…NE PLEURE PAS LA VIE TUE LA…ET PORTE BIEN HAUT LE CHAOS CHERE A MON CŒUR…MAINTENANT VA MON FILS TU N’EST PAS CELUI QUE TU CROIT MAIS CELUI QU’IL ATTEND… »

Dans un sursaut immonde, Aathahorus réalisa qu’il était encore conscient, mort peut être mais conscient, et un être incommensurable vociféré contre lui, bavant d’une voie sinistre et glaciale. La mort ? un ange ? Dieu ? Avait-il une voie si malfaisante, pleine d’une haine ancienne et poussiéreuse contre la vie ? Que pouvais ton attendre de lui… et ceux « mon fils »… ! Aathahorus répondit d’une toute petite voie…

« Heu…allo vous m’entendez, c’est à moi que vous parlez ? Vous devez vous trompez de personne, je suis le fils de mes parents… un batard d’elfe à vrais dire… mais je suis mort alors… »

La voie tonitruante ricocha avec encore plus de violence…

« IMBECIL N’A TU ENCORE RIEN COMPRIS DE LA DESTINE QUI T’ATENDAIS… TU N’EST PAS LE FRUIT DE CELUI QUE TU APPEL PERE… TON DEVOIR EST DE DETRUIRE CE MONDE…TU PORTE EN TOI L’AME D’UNE LICHE ET CELLE D’UNE IMMORTELLE… »

Aathahorus commença à glousser et à ricaner avant de lancer…

« Hhahahahhhuhuhuhhihihhihohohoh foutu fée verte… ou bien c’est le dosage de champignons qui me joue des tours, voilà que je suis définitivement fou allié… alors dite moi papa (nouveau ricanement) … »

Mais à l’instant où Aathahorus allé formuler sa question, un haut le cœur lui souleva le cœur bien haut, un vertige, des étoiles, sa tête commencée à lui tourner… et tout remonta d’un coups… Il était de retour dans le monde des vivants et il vomit ce jour là pendant des heures, il crut même dégueuler ses intestins, mais heureusement ils étaient bien attachés.

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